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Post by bduc61 on Apr 25, 2017 9:52:29 GMT 2
c est quoi le filetage de ces vis ?! - donc ton taraud c est du  mais j ai un cadre ou aucune de mon stock de vis d occase ne veut rentrer  il y a eu plusieurs standards ? |
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Post by Romuald on Apr 25, 2017 10:52:22 GMT 2
Des pattes, des pattes oui mais des Pignolos, donc métriques.
C'est du diamètre 3 si mes souvenirs sont exact et le pas je ne sais pas.
Je sacrifie des vis chinoises de chez bricotruc. Vu que c'est fait dans du merdanum, ça ne risque pas de foirer le filetage.
Par contre quand c'est un peu dur à visser il y a grand risque de foirer la tête (alouette). Mais le sachet en comportant un certain nombre, on a le droit de rejouer.
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Post by Munny on Apr 25, 2017 13:00:09 GMT 2
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Post by alainm on Apr 25, 2017 14:14:15 GMT 2
La vis est en 3X0,5. C'est celle de la patte arrière gauche. Elle était mobile, semblait droite mais ne coulissait pas très bien. Après l'avoir nettoyée au pétrole & frottée à la brosse en fer, j'entreprends de la sortir en la dévissant. ça se passe bien jusqu'à ce qu'elle disparaisse complètement dans la patte. Là, clac, elle casse. Il en reste un morceau, assez long, qui dépasse vers l'intérieur. Il devrait permettre, en vissant, de la re-sortir dans l'autre sens, par l'extérieur de la patte. J'y visse donc un premier écrou en 5,5 de diam. Il va servir de contre-écrou: il bloque le deuxième du même diamètre que je lui superpose. Grâce aux compétences paternelles, j'ai l'outil* idoine pour serrer: 5,5 interne, 9 externe. ça passe pile-poil entre les mâchoires de la patte. Deux quarts de tours plus loin: re-clac.  Je sors la Dremel, une mèche de 2 & je fore. Elle transperce comme dans du beurre. Super. Je sors le taraud de 3 X 0,5. Je visse. ça bloque après 4 tours. Je repasse un coup de mèche de 2. A nouveau le taraud. 4 tours plus loin, blocage. Encore un coup de 2. Puis 4 tours de 3. Ca tourne mais c'est dur: j'arrête. Je regarde: poussés par le taraud, les restes de la vis sortent par l'intérieur de la patte. "- c'est bon, encore un coup". A la pression suivante, le taraud casse instantanément au raz de la patte.  c'est sa pointe qu'on aperçoit ici:  & comme le dit Munny, l'acier dont il est fait, c'est du costaud: j'ai tenté de le percer avec la mèche de 2. Résultat: une bonne odeur de chaud & un joli dégradé. Point final.  *Facom fait les mêmes (!) mais c'est plus cher. catalogue.facom.com/fr/categorie/cles-a-ouverture-fixe-et-variable/cles-a-douilles/serie-emmanchee-et-poignee-en-t/produit/94a-cles-emmanchees-en-tube-avec-poignee-tournevis-metriques/94a-5-5-1 |
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Post by Romuald on Apr 27, 2017 22:42:27 GMT 2
Belle illustration de L.E.M. (loi de l'emmerdement maximum).
Quand le mieux est l'ennemi du bien.
Au fait, il ne faut pas tarauder à sec, ça va mieux avec du gibolin (ou huile de coupe, dégrippant...)
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Post by Munny on Apr 28, 2017 6:58:03 GMT 2
Et voilà !
Et qui c'est qui a des boîtes incomplètes à présent?
Mais c'est Papa.
Et une boite à mèches avec une brulée
Et une boîte de tarauds avec un cassé.
Je te filerai, si je retrouve, un arrêt à visser autour de la patte.
Au pire, sans, cela marche aussi bien
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Post by alainm on Apr 28, 2017 9:01:46 GMT 2
Hé oui, Romuald, parfois il vaut mieux s'abstenir. Merci du conseil: je n'avais jamais eu de problème avant mais la prochaine fois, sûr, j'appliquerai. Non-non, les boites incomplètes sont les miennes... Tu parles de ça?   nettoyée, elle est déjà en place:  |
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Post by alainm on May 1, 2017 17:38:30 GMT 2
Dans les archives de la Sonuma, un reportage sur le cyclotourisme, filmé au bois de la Cambre à Bruxelles en juin 1965: www.sonuma.be/archive/le-succ%C3%A8s-du-cyclotourismeJeanine Lambotte interroge qq cyclos. Dans les plans de coupes, des noms connus apparaissent: Terryn  & -oui, évidemment- Teval      |
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Post by Munny on May 1, 2017 20:57:26 GMT 2
Tu as extrait les meilleures vues. Mais pas l'accent  |
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Post by alainm on May 8, 2017 11:48:31 GMT 2
En fonction des commentaires de Jicemac01 à la page 35 du sujet Plume Sport & de ce reportage de la Sonuma, j'ai comme la nette impression que je n'avais pas bien noté ce qui concernait l'adresse: la boutique d'Edouard Teval se trouvait chaussée de Gand à Berchem. Les décalques présents sur cette randonneuse sont identiques à ceux qu'on voit sur l'engin détaillé dans le reportage un peu plus haut, ils sont donc fort probablement ceux de cette deuxième adresse, contrairement à ce que j'écrivais à la page précédente.
Mais alors où se trouvait le magasin de ses parents?
Non, c'est pas possible: le décalque de ma randonneuse commence par "R.D.." & se termine par "...tr.Berchem". Soit l'abréviation de "Rue d...", puisque "tr" serait celle de "straat" en flamouch. Pour les non-belges de nos lecteurs & non avertis du bilinguisme de la capitale belge (Mais y en a't-il encore?), "chaussée" se traduit par "steenweg" & s'abrévie stwg. C'est donc la première adresse, celle du magasin des parents qui est mentionnée. Reste à la retrouver.
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Post by alainm on May 14, 2017 11:34:26 GMT 2
En attendant les roues (qui arrivent bientôt), il reste encore qq détails à régler, qq petites choses à remplacer. Dont les bouchons de guidon:  celui-ci, râpé, dont le caoutchouc s'effrite, est en plus orphelin, l'autre s'étant dématérialisé sous mes doigts au démontage. Hier, j'ai eu la chance de glaner de quoi les remplacer.  & même plus. &, avec ce que j'avais déjà comme documents & productions de la marque, j'ai donc aussi l'occasion de compléter un peu les infos qu'on peut trouver à son propos. Ces bouchons de guidon seraient apparus dans les années 40: velobase.com/ViewComponent.aspx?ID=6d34ac05-d43c-4d3e-a7af-a21fe600fc70&Enum=103la gamme comprend comme couleur en plus des bleu, vert, noir, rouge, bakélite & blanc, qu'on peut voir sur ce lien, Vieux Rose -le saumon évoqué là aussi-   Comme le montre ma deuxième image, la paire de blancs trouvée hier n'est pas exactement identique à ceux qui étaient sur la bécane. Sont-ils plus anciens? Peut-être. Sur le principe, le bouchon a peu évolué;  Cinq pièces: une vis , un écrou, deux parties colorées & un joint de caoutchouc noir. En vissant, le caoutchouc noir se comprime entre les 2 parties en plastique. Il y a eu comme on peut le voir, plusieurs modifications de la taille du logo, avec différents positionnements des marquages & la présence ou non de certaines mentions. Je n'en connais pas l'historique. Ceux portant le "made in france" au dos semblent être les plus récents, vu leur état de conservation. Les bakélite seraient les plus anciens, à cause de la matière dont ils sont faits? Il y a en tout cas -au moins?- deux modèles: le 120 & le 121. La différence est liée à la taille du capuchon: respectivement 29 & 26mm. (le rouge en haut a droite a été limé & poncé pour être plus étroit & aussi, sans doute, un peu plus léger) Si on se fie à la date d'apparition indiquée sur Velobase, le bouchon GB a été produit très longtemps. Car il était encore vendu en janvier 1979, comme le prouve cet encart publié dans "Le Cycle" de l'époque. La firme ne doit pas avoir fait beaucoup de frais de publicité au cours des ans pour vanter les mérites de sa production: la mise en page, les typo & le graphisme en général témoignent d' une légère inadéquation avec l'air du temps de l'époque: un rien vieillot, non?  Autre produit de la marque qu'il montre, l'antivol:   Y-a-t'il eu d'autres couleurs que le rouge? Chesépa. - Munny, j'ai sans doute hier, dans la précipitation du départ, emmené une de tes trouvailles:  ça revient bientôt par le canal habituel. -
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Post by Munny on May 14, 2017 14:28:32 GMT 2
Tiens, oui...
Faudrait que je prenne le temps de présenter cette pince à oshir les rayons.
Pas eu le temps.
La scoumoune ce matin.
Mon Vitus.
Depuis quelques temps, un gonflage du pneu avant, me fait 50 Km
Je me suis donc dit que j'allais remplacer la chambre Hutchinson aerolite (vas trouver de quoi la réparer)
Je remplace par une chambre neuve et au remontage, au dernier moment, pincette.
Saleté de pneux modernes trop justes !
Je suis parti en Samyn II
10 km et boyaux plus assez de pression (poreux)
+ 2-3 pignons campalu à remplacer, la chaîne qui traîne entre petit et grand plateau ...
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Post by alainm on May 16, 2017 14:34:17 GMT 2
La Regina Gran Sport Corse qu'on apercevait est sortie assez facilement:  Pas encore pu retirer le 3ème pignon. Mais comme je n'ai pas de chaine Brampton de rechange, mieux vaut garder les pignons tels quels pour l'instant. Sinon l'outil qui maintient la RL, c'est ça:   A coincer dans l'étau. |
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Post by jicemac01 on May 16, 2017 15:22:02 GMT 2
En fonction des commentaires de Jicemac01 à la page 35 du sujet Plume Sport & de ce reportage de la Sonuma, j'ai comme la nette impression que je n'avais pas bien noté ce qui concernait l'adresse: la boutique d'Edouard Teval se trouvait chaussée de Gand à Berchem. Les décalques présents sur cette randonneuse sont identiques à ceux qu'on voit sur l'engin détaillé dans le reportage un peu plus haut, ils sont donc fort probablement ceux de cette deuxième adresse, contrairement à ce que j'écrivais à la page précédente. Mais alors où se trouvait le magasin de ses parents? Non, c'est pas possible: le décalque de ma randonneuse commence par "R.D.." & se termine par "...tr.Berchem". Soit l'abréviation de "Rue d...", puisque "tr" serait celle de "straat" en flamouch. Pour les non-belges de nos lecteurs & non avertis du bilinguisme de la capitale belge (Mais y en a't-il encore?), "chaussée" se traduit par "steenweg" & s'abrévie stwg. C'est donc la première adresse, celle du magasin des parents qui est mentionnée. Reste à la retrouver. La boutique Teval se trouvait au n° 1185 de la chaussée de Gand, à Berchem Ste Ahathe ( Gentsesteenweg, 1185... oui oui... y'a encore quelques Bruxellois authentiques...  ). Je l'ai connue et même y suis rentré quelquefois, dans les années 72-75. Pas toujours très sympa d'ailleurs. Je n'ai pas connu l'adresse exacte de la boutique des parents mais il faut aussi prendre en compte que Berchem a cultivé pendant longtemps un esprit "village", très bilingue Français-Brusselleer... Les plus anciens parlaient le dialecte "régional" encore jusqu'il y a peu... Un des derniers bastion en fait du dialecte Bruxellois authentique, comme l'est encore la Place du Miroir à Jette dans les rares vieux commerces. Le 1185 est devenu aujourd'hui, quoique rénové, un centre de "Washing", Fun Wash. On reconnait encore fort bien l'emplacement des vitrines d'alors. Donc, très probablement que les parents Teval étaient situés tout près, et peut-être dans la rue des Anciens Combattants, juste derrière le coin (Oudstrijdersstraat). Bcp de ces maisons communiquaient par les jardins et les ateliers d'artisans, nombreux avant-guerre dans cette commune au caractère presque rural. A tel point que, jusque dans les années 2000, on y trouvait des champs et une très grande pâture avec de vraies vaches... juste en face du complexe Basilix...! Et des maraîchers encore en activité derrière la Place Schweitzer...! Les modos ont fait remarquer que Teval ne cadrait pas (quoiqu'il ait un temps officié chez Plum), peut-être avait-il encore un stock plus ancien de décalques venant de ses parents. Mais il y avait encore à Bruxelles et jusque dans les années 75-80, un grand nombre de petits bouclards-vélocistes, Schmitz rue des côteaux à Schaerbeek et Domenicus (ancien coureur pro d'avant-guerre) à la chaussée de Mons, pour n'en citer que 2 parmi les plus compétents. Mais aussi chaussée de Helmet, chaussée de Louvain vers Paduwa..., au Miroir, rue des Alliés, avenue de la Couronne, etc... La plupart situés dans des quartiers dits "populaires" ou la bicyclette était un moyen de transport normalisé et accessible au plus grand nombre. |
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Post by alainm on May 16, 2017 16:13:35 GMT 2
Merci JC.
On va d'ailleurs bientôt reparler de Jef Dominicus, le papa de Tonia
De Schmitz aussi, p-e...
Edouard n'aurait été que mécano chez Plume Sport. Au chalumeau, yavait Philémon & Léon.
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il y a eu plusieurs standards ?
). Je l'ai connue et même y suis rentré quelquefois, dans les années 72-75. Pas toujours très sympa d'ailleurs. Je n'ai pas connu l'adresse exacte de la boutique des parents mais il faut aussi prendre en compte que Berchem a cultivé pendant longtemps un esprit "village", très bilingue Français-Brusselleer... Les plus anciens parlaient le dialecte "régional" encore jusqu'il y a peu... Un des derniers bastion en fait du dialecte Bruxellois authentique, comme l'est encore la Place du Miroir à Jette dans les rares vieux commerces.