Post by Romuald on Nov 3, 2014 23:50:27 GMT 2
Fernand Kessels, "constructeur" a fourni certains des vélos à son nom à certain Edouard Louis Joseph. Mais Fernand ne fabriquait pas lui-même les cadres.
Ceux-ci étaient sous traité à un véritable constructeur, non pas à Ostende mais à Ruislede, Vaneenooghe Bvba.
Après Kessels ils auraient travaillé pour la firme Splendor pour des coureurs comme Sean Kelly, Walter et Eddy Planckaert, Michel Pollentier, Claude Criquielion, Rudy Dhaenens,...
www.vaneenooghe.be/nl/geschiedenis-van-de-firma-vaneenooghe
Luc Vaneenooghe a succédé à Etienne et Guido et lui-même travaille avec son fils Diel, si bien que l'atelier perdure de nos jours.
Évidemment si je n'avais côtoyé nos amis sur ce forum, je serais passé complètement à côté de la tradition artisanale belge. Cette tradition est aussi venue à ma rencontre à la dernière édition de l'Anjou Vintage où j'ai pu me rendre compte qu'elle était toujours d'actualité.
Matérialisé par un truc un peu fou, comme si on pouvait remonter le temps en arrière et commander son vélo comme à l'époque. J'avais dans l'espoir de trouver un jour un Kessels un peu plus huppé que celui que je possède, l'occasion m'en était donné.
J'ai les mêmes mensurations que Lucien, alors à moins d'aller subtiliser celui de Didier de Flandrien, il valait mieux du sur mesures.
Et c'était possible, de même que quelques ajustements (pattes Campagnolo, passages de câbles brasés sur la boîte de pédalier, inserts porte-bidon) donc quelques mois plus tard :
Ceux-ci étaient sous traité à un véritable constructeur, non pas à Ostende mais à Ruislede, Vaneenooghe Bvba.
Après Kessels ils auraient travaillé pour la firme Splendor pour des coureurs comme Sean Kelly, Walter et Eddy Planckaert, Michel Pollentier, Claude Criquielion, Rudy Dhaenens,...
www.vaneenooghe.be/nl/geschiedenis-van-de-firma-vaneenooghe
Luc Vaneenooghe a succédé à Etienne et Guido et lui-même travaille avec son fils Diel, si bien que l'atelier perdure de nos jours.
Évidemment si je n'avais côtoyé nos amis sur ce forum, je serais passé complètement à côté de la tradition artisanale belge. Cette tradition est aussi venue à ma rencontre à la dernière édition de l'Anjou Vintage où j'ai pu me rendre compte qu'elle était toujours d'actualité.
Matérialisé par un truc un peu fou, comme si on pouvait remonter le temps en arrière et commander son vélo comme à l'époque. J'avais dans l'espoir de trouver un jour un Kessels un peu plus huppé que celui que je possède, l'occasion m'en était donné.
J'ai les mêmes mensurations que Lucien, alors à moins d'aller subtiliser celui de Didier de Flandrien, il valait mieux du sur mesures.
Et c'était possible, de même que quelques ajustements (pattes Campagnolo, passages de câbles brasés sur la boîte de pédalier, inserts porte-bidon) donc quelques mois plus tard :