Post by chris92150 on Oct 18, 2017 23:34:44 GMT 2
Bonjour à tous,
je suis nouveau sur ce forum et vous remercie de m'avoir accepté parmi vous.
je n'ai pas vu de section "présentation des nouveaux membres" mais il me semble que c'est la coutume je vais donc tenter de faire court;
Christophe, je vis en banlieue parisienne, à l'ouest.
les fesses vissées sur des vélos depuis que j'ai appris à en faire vers l'âge de 5 ans, premier bi-cross (D4) vers 10 ans,
puis vers 12 ans un vélo de route "G.Ginet" resté en haute savoie et utilisé uniquement pendant les vacances,
S'en sont suivis un premier VTT (vers 14 ans), que l'on m'a volé,
puis un second (D4, 3 tubes chromoly) qui fut mon fidèle destrier jusqu'au debut des années 2000, paré de pneus routes, et qui, compte tenu de l'interdiction formelle des parents de posséder un scooter, m'a permis de me déplacer un peu partout sur les communes du sud 92, avec parfois un copain assis sur le guidon (sans bobo à déplorer),
de nouveau un VTT D4 vers 2005, cadre alu, qui a assez peu roulé mais m'a permis de me remettre au vélo après mes années étudiantes, plus alcoolisées que réellement sportives
au début des années 2010, 2 enfants plus tard mais toujours sur mon VTT, un collègue qui pratique aussi le VTT me dit qu'il veut se remettre à la route. Je n'y connaissais rien mais à force de l'entendre je commence à m'y intéresser. Profitant d'un peu de temps libre entre deux jobs, je m'attaque à la restauration du vieux vélo route Peugeot de mon pere (acheté en 66) qui prend la poussière dans le garage depuis une bonne quinzaine d'années, je tombe bien évidemment sur le forum "tonton" et le virus m'atteint gravement...je saute le pas en achetant un vélo en carbone et commence à enchainer les km tous les dimanches à Longchamps ou vers Jouy en josas.
Le carbone c'est sympa, mais esthétiquement ce sont plus les cadres acier qui me chatouillent les yeux, je me mets donc à la recherche d'un vélo à cadre acier. Leboncoin dans tous les sens et me voilà parti pour acheter un CBT Italia Krypton de la fin des années 90. Magnifique cadre (columbus SLX) pantographié des pattes aux haubans (pas de sifflet), fourche chromée également pantographiée, bases et haubans chromés, périphériques un peu usés mais peu importe car l'idée est de le moderniser pour gagner un peu de poids et se rapprocher de mon vélo plastique. Premier camouflet; impossible de virer le boitier de pédalier qui est totalement soudé à la boite...direction les cycles Alex Singer (tant qu'à faire) pour un coup de main et hop une semaine après le cadre est dénudé.
Peinture/stickers/vernis, périphérique qui vont bien neufs ou d'occasion et roule...pour moi le vélo est magnifique, un style néoretro qui me plait mais dès les premier km je me rends compte que la roue arrière a du mal à rester en place meme en serrant l'attache rapide comme une mule. J'en arrive finalement à la conclusion que le mécano de Singer, en chauffant le cadre au chalumeau pour virer le BdP, l'a totalement ramolli amplifiant les effets initiaux de la rouille bien présente dans le bas du cadre...cadre foutu qui est aujourd'hui accroché dans mon salon (je suis séparé, personne pour me l'interdire :-) ).
un peu dégouté mais n'ayant pas dit mon dernier mot, je me remets à la recherche d'un cadre acier et tombe sur un Didier Louis. Je ne connais pas ce constructeur mais les photos du vélo me plaisent, le prix est correct, et il est à deux pas de chez moi. Ni une ni deux, je l'achète en comptant sur l'honneteté du vendeur qui m'assure que non, il n'est pas du tout rouillé, a priori car il n'a pas vu l'intérieur du boitier, n'ayant pas l'outil pour enlever le BDP...chose étonnante lorsque ledit monsieur possède un marbre et en ai déjà à son deuxième cadre de sa fabrication. Quelques coup de pédales me rassurent, le cadre a l'air bien rigide et la boite de pédalier ne se trémousse pas sous la puissance colossale de mes mollets de gallinacé. JDD/BdP/TdS en Dura ace et transmission campa, roues ambrosio en bon état.
démontage total, à la cuvette fixe de BdP près (soudée à la boite), decapex pour virer la peinture cheap faite par l'ancien proprio, et là c'est le drame...intérieur du cadre complètement rouillé à tel que point que les tubes de selle et diagonal sont percés (bien masqué par du sintofer pour boucher les trous).
désolé pour ce texte surement trop long, et place aux photos de ce fameux D.Louis, a priori modèle MOSKOVIT, en tube Vitus TXO, raccords renforcés, passages de câble internes sur le tube supérieur et dans le tube de selle (forme du tube oblige), plots/pas de vis bidon (x4) et attache de dérailleur avant brasés, repose chaine, DL gravé sur la tête de fourche :
Votre forum est le seul à parler de D.Louis, je ne peux donc rien vous apporter de plus sur ce fabricant. Par ailleurs, le MOSKOVIT que l'on voit sur le catalogue présent sur le forum ne possède pas ces renforts de raccords mais il possède une attache pour numéro de course, peut etre a t il été commandé par un coursier puissant...impossible de le savoir
qu'en pensez vous ?
bonne soirée
je suis nouveau sur ce forum et vous remercie de m'avoir accepté parmi vous.
je n'ai pas vu de section "présentation des nouveaux membres" mais il me semble que c'est la coutume je vais donc tenter de faire court;
Christophe, je vis en banlieue parisienne, à l'ouest.
les fesses vissées sur des vélos depuis que j'ai appris à en faire vers l'âge de 5 ans, premier bi-cross (D4) vers 10 ans,
puis vers 12 ans un vélo de route "G.Ginet" resté en haute savoie et utilisé uniquement pendant les vacances,
S'en sont suivis un premier VTT (vers 14 ans), que l'on m'a volé,
puis un second (D4, 3 tubes chromoly) qui fut mon fidèle destrier jusqu'au debut des années 2000, paré de pneus routes, et qui, compte tenu de l'interdiction formelle des parents de posséder un scooter, m'a permis de me déplacer un peu partout sur les communes du sud 92, avec parfois un copain assis sur le guidon (sans bobo à déplorer),
de nouveau un VTT D4 vers 2005, cadre alu, qui a assez peu roulé mais m'a permis de me remettre au vélo après mes années étudiantes, plus alcoolisées que réellement sportives
au début des années 2010, 2 enfants plus tard mais toujours sur mon VTT, un collègue qui pratique aussi le VTT me dit qu'il veut se remettre à la route. Je n'y connaissais rien mais à force de l'entendre je commence à m'y intéresser. Profitant d'un peu de temps libre entre deux jobs, je m'attaque à la restauration du vieux vélo route Peugeot de mon pere (acheté en 66) qui prend la poussière dans le garage depuis une bonne quinzaine d'années, je tombe bien évidemment sur le forum "tonton" et le virus m'atteint gravement...je saute le pas en achetant un vélo en carbone et commence à enchainer les km tous les dimanches à Longchamps ou vers Jouy en josas.
Le carbone c'est sympa, mais esthétiquement ce sont plus les cadres acier qui me chatouillent les yeux, je me mets donc à la recherche d'un vélo à cadre acier. Leboncoin dans tous les sens et me voilà parti pour acheter un CBT Italia Krypton de la fin des années 90. Magnifique cadre (columbus SLX) pantographié des pattes aux haubans (pas de sifflet), fourche chromée également pantographiée, bases et haubans chromés, périphériques un peu usés mais peu importe car l'idée est de le moderniser pour gagner un peu de poids et se rapprocher de mon vélo plastique. Premier camouflet; impossible de virer le boitier de pédalier qui est totalement soudé à la boite...direction les cycles Alex Singer (tant qu'à faire) pour un coup de main et hop une semaine après le cadre est dénudé.
Peinture/stickers/vernis, périphérique qui vont bien neufs ou d'occasion et roule...pour moi le vélo est magnifique, un style néoretro qui me plait mais dès les premier km je me rends compte que la roue arrière a du mal à rester en place meme en serrant l'attache rapide comme une mule. J'en arrive finalement à la conclusion que le mécano de Singer, en chauffant le cadre au chalumeau pour virer le BdP, l'a totalement ramolli amplifiant les effets initiaux de la rouille bien présente dans le bas du cadre...cadre foutu qui est aujourd'hui accroché dans mon salon (je suis séparé, personne pour me l'interdire :-) ).
un peu dégouté mais n'ayant pas dit mon dernier mot, je me remets à la recherche d'un cadre acier et tombe sur un Didier Louis. Je ne connais pas ce constructeur mais les photos du vélo me plaisent, le prix est correct, et il est à deux pas de chez moi. Ni une ni deux, je l'achète en comptant sur l'honneteté du vendeur qui m'assure que non, il n'est pas du tout rouillé, a priori car il n'a pas vu l'intérieur du boitier, n'ayant pas l'outil pour enlever le BDP...chose étonnante lorsque ledit monsieur possède un marbre et en ai déjà à son deuxième cadre de sa fabrication. Quelques coup de pédales me rassurent, le cadre a l'air bien rigide et la boite de pédalier ne se trémousse pas sous la puissance colossale de mes mollets de gallinacé. JDD/BdP/TdS en Dura ace et transmission campa, roues ambrosio en bon état.
démontage total, à la cuvette fixe de BdP près (soudée à la boite), decapex pour virer la peinture cheap faite par l'ancien proprio, et là c'est le drame...intérieur du cadre complètement rouillé à tel que point que les tubes de selle et diagonal sont percés (bien masqué par du sintofer pour boucher les trous).
désolé pour ce texte surement trop long, et place aux photos de ce fameux D.Louis, a priori modèle MOSKOVIT, en tube Vitus TXO, raccords renforcés, passages de câble internes sur le tube supérieur et dans le tube de selle (forme du tube oblige), plots/pas de vis bidon (x4) et attache de dérailleur avant brasés, repose chaine, DL gravé sur la tête de fourche :
Votre forum est le seul à parler de D.Louis, je ne peux donc rien vous apporter de plus sur ce fabricant. Par ailleurs, le MOSKOVIT que l'on voit sur le catalogue présent sur le forum ne possède pas ces renforts de raccords mais il possède une attache pour numéro de course, peut etre a t il été commandé par un coursier puissant...impossible de le savoir
qu'en pensez vous ?
bonne soirée