Post by sacha on May 24, 2020 19:02:44 GMT 2
Bonjour à tous,
Si je suis fervent cycliste depuis l'enfance jusqu'à aujourd'hui (et je suis né en 1966) je ne suis qu'un dilettante en matière de connaissances techniques de l'engin comme les premiers pas de mon projet de reconditionnement de mon plus ancien vélo de course me l'ont rappelé.
A l'occasion des circonstances actuelles,je me suis en effet attelé à cette tâche à laquelle je songeais depuis longtemps.
Le vélo en question était toujours utilisé mais après tant d'années de bons service, il méritait bien cet honneur.
Notre rencontre a commencé à la faveur si je peux dire du vol d'un beau Peugeot acheté chez Plume Sport vers 1980 (magasin situé à Bruxelles, dans une petite rue perpendiculaire au canal si ma mémoire ne me trompe pas) et envolé au Westland Shopping Center, peu de temps après, trop peu protègé sans doute par un modeste cadenas à câbles torsadés.
Suite à cet épisode, mes parents dont les moyens ne leur permettaient pas alors de réiterer leur achat, se sont vus proposés de rhabiller entièrement un cadre abandonné.
Qui fut l'artisan de cette opération, je ne saurais le dire mais ce fut forcément soit Plume, soit Teval (à Berchem Ste Agathe).
C'est ce vélo que j'ai entrepris de désosser.
Le but est de sabler cadre et fourche avant nouvelle peinture et remontage des pièces d'origine autant que faire se peut.
J'ai donc démonté chaque accessoire et pièce.
Le démontage des manivelles m'a valu l'expérience douloureuse mais semble-t-il classique de la clavette récalcitrante (une sur deux heureusement, qui n'a capitulé que devant scie et foreuse) et du boîtier de pédalier dont je n'ai pu dévisser la partie droite qu'en coinçant le cadre dans un étau.
J'en viens enfin à mes questions et demandes de bons conseils.
Tout d'abord, j'aurais aimé identifier l'origine obscure du cadre alu. Lorsque j'ai reçu le vélo, il avait été repeint (professionnellement) et ne présentait aucun sticker d'une quelconque marque.
Les seuls signes apparents sont un double T (TT) gravé sous la pièce qui accueille le pédalier, et une série de chiffres gravés à l'endroit où vient se glisser l'axe de la rue arrière, côté extérieur gauche. Je me doute que c'est maigre, mais si quelqu'un a une piste, j'en serais ravi.
Ensuite, comme je l'ai dit je vais faire procéder au sablage avant nouvelle peinture.
Comme je ne suis pas d'un naturel rancunier, j'ai déniché à Anderlechtois un atelier qui propose ce travail. Cependant, comme je doute qu'ils soient habitués à traiter des cadres de vélo, je serais heureux de profiter de conseils préalables.
Par exemple sur la manière de protéger les pas de vis du boîtier de pédales tout en assurant un sablage et une finition de peinture aussi complète que possible. Ou encore sur le traitement de traces de rouille sur ces mêmes parties.
Je m'arrête là !
Dans l'espoir d'avoir pu éveiller la curiosité de l'un ou l'une de vous qui aura la patience de me lire et de me répondre 😉
Cordialement,
Sacha
Si je suis fervent cycliste depuis l'enfance jusqu'à aujourd'hui (et je suis né en 1966) je ne suis qu'un dilettante en matière de connaissances techniques de l'engin comme les premiers pas de mon projet de reconditionnement de mon plus ancien vélo de course me l'ont rappelé.
A l'occasion des circonstances actuelles,je me suis en effet attelé à cette tâche à laquelle je songeais depuis longtemps.
Le vélo en question était toujours utilisé mais après tant d'années de bons service, il méritait bien cet honneur.
Notre rencontre a commencé à la faveur si je peux dire du vol d'un beau Peugeot acheté chez Plume Sport vers 1980 (magasin situé à Bruxelles, dans une petite rue perpendiculaire au canal si ma mémoire ne me trompe pas) et envolé au Westland Shopping Center, peu de temps après, trop peu protègé sans doute par un modeste cadenas à câbles torsadés.
Suite à cet épisode, mes parents dont les moyens ne leur permettaient pas alors de réiterer leur achat, se sont vus proposés de rhabiller entièrement un cadre abandonné.
Qui fut l'artisan de cette opération, je ne saurais le dire mais ce fut forcément soit Plume, soit Teval (à Berchem Ste Agathe).
C'est ce vélo que j'ai entrepris de désosser.
Le but est de sabler cadre et fourche avant nouvelle peinture et remontage des pièces d'origine autant que faire se peut.
J'ai donc démonté chaque accessoire et pièce.
Le démontage des manivelles m'a valu l'expérience douloureuse mais semble-t-il classique de la clavette récalcitrante (une sur deux heureusement, qui n'a capitulé que devant scie et foreuse) et du boîtier de pédalier dont je n'ai pu dévisser la partie droite qu'en coinçant le cadre dans un étau.
J'en viens enfin à mes questions et demandes de bons conseils.
Tout d'abord, j'aurais aimé identifier l'origine obscure du cadre alu. Lorsque j'ai reçu le vélo, il avait été repeint (professionnellement) et ne présentait aucun sticker d'une quelconque marque.
Les seuls signes apparents sont un double T (TT) gravé sous la pièce qui accueille le pédalier, et une série de chiffres gravés à l'endroit où vient se glisser l'axe de la rue arrière, côté extérieur gauche. Je me doute que c'est maigre, mais si quelqu'un a une piste, j'en serais ravi.
Ensuite, comme je l'ai dit je vais faire procéder au sablage avant nouvelle peinture.
Comme je ne suis pas d'un naturel rancunier, j'ai déniché à Anderlechtois un atelier qui propose ce travail. Cependant, comme je doute qu'ils soient habitués à traiter des cadres de vélo, je serais heureux de profiter de conseils préalables.
Par exemple sur la manière de protéger les pas de vis du boîtier de pédales tout en assurant un sablage et une finition de peinture aussi complète que possible. Ou encore sur le traitement de traces de rouille sur ces mêmes parties.
Je m'arrête là !
Dans l'espoir d'avoir pu éveiller la curiosité de l'un ou l'une de vous qui aura la patience de me lire et de me répondre 😉
Cordialement,
Sacha