Post by Romuald on Feb 20, 2014 23:40:20 GMT 2
Il a été question récemment d'un dérailleur arrière Simplex capricieux.
N'ayant qu'une vision très lacunaire de l'anatomie de la chose, c'est l'occasion d'y regarder de plus près.
On pose les bases, une bonne nomenclature il n'y a que ça de vrai! 255 g et conforme CPSC qu'ils disent.
Perdons pas de temps on attaque. La méthodologie est la même quel que soit le Simplex : il faut libérer le ressort qui est bridé par un arrêt vissé sur la chape.
Évidemment, dès que le fauve est lâché, faut planquer les doigts et bien retenir le bazar sous peine de tester grandeur nature la tapette à souris (mais on a de la chance, le CPSC est représenté par la vis à collerette dans le cas présent)...
On enquille une clef à laine (le retour des jeux mots et des photos pourris) et on saisit la chape à pleine main pour débloquer l'ensemble.
Une partie tourne sur elle-même et l'autre reste en place. On enlève pas encore la clé, il reste un écrou de 14 à desserrer.
Voilà il est parti, de même que l'axe qui a suivi le mouvement. Il a alors été possible de dégager le ressort et son cache.
Nous observons ici le principe de calage du ressort : d'un côté il y a un trou dans le corps du dérailleur qui bloque une extrémité du ressort, de l'autre une rainure de l'axe le reçoit.
Donc c'est mort pour donner plus ou moins de tension, il n'y a pas les différentes orientations possibles d'un SLJ, par exemple, à l'aide de plusieurs perçages.
Pas le temps de s'appesantir sur notre infortune, il reste une partie à désosser.
Re-clé et dépose de l'écrou à l'arrière de la patte :
Et finalement le deuxième axe est déposé.
Pour le remontage c'est pas dur, on fait exactement l'inverse et après nettoyage et graissage on obtient le même, mais propre.
Je recommande le remontage de la patte de maintient dans cette position, car c'est ainsi que la tension est la plus élevée.
Vous faites comme vous voulez, il y en a qui ont essayé autrement, zont eu des problèmes.
Au fait combien que ça pèse?
N'ayant qu'une vision très lacunaire de l'anatomie de la chose, c'est l'occasion d'y regarder de plus près.
On pose les bases, une bonne nomenclature il n'y a que ça de vrai! 255 g et conforme CPSC qu'ils disent.
Perdons pas de temps on attaque. La méthodologie est la même quel que soit le Simplex : il faut libérer le ressort qui est bridé par un arrêt vissé sur la chape.
Évidemment, dès que le fauve est lâché, faut planquer les doigts et bien retenir le bazar sous peine de tester grandeur nature la tapette à souris (mais on a de la chance, le CPSC est représenté par la vis à collerette dans le cas présent)...
On enquille une clef à laine (le retour des jeux mots et des photos pourris) et on saisit la chape à pleine main pour débloquer l'ensemble.
Une partie tourne sur elle-même et l'autre reste en place. On enlève pas encore la clé, il reste un écrou de 14 à desserrer.
Voilà il est parti, de même que l'axe qui a suivi le mouvement. Il a alors été possible de dégager le ressort et son cache.
Nous observons ici le principe de calage du ressort : d'un côté il y a un trou dans le corps du dérailleur qui bloque une extrémité du ressort, de l'autre une rainure de l'axe le reçoit.
Donc c'est mort pour donner plus ou moins de tension, il n'y a pas les différentes orientations possibles d'un SLJ, par exemple, à l'aide de plusieurs perçages.
Pas le temps de s'appesantir sur notre infortune, il reste une partie à désosser.
Re-clé et dépose de l'écrou à l'arrière de la patte :
Et finalement le deuxième axe est déposé.
Pour le remontage c'est pas dur, on fait exactement l'inverse et après nettoyage et graissage on obtient le même, mais propre.
Je recommande le remontage de la patte de maintient dans cette position, car c'est ainsi que la tension est la plus élevée.
Vous faites comme vous voulez, il y en a qui ont essayé autrement, zont eu des problèmes.
Au fait combien que ça pèse?